Ben ça , ça n’est pas la faute à l’entrepreneur mais bien l’absence d’intérêt du public
Et je me demande si un autre modèle aurait encore du succès aujourd’hui
Ben ça , ça n’est pas la faute à l’entrepreneur mais bien l’absence d’intérêt du public
Il est où le mérite ? D'exister avec une interprétation personnelle ?
Et c'est bien là que se joue le devenir de tous ces futurs hypothétiques modèles. Aujourd'hui, une part importante de la clientèle ne veut plus souscrire mais acheter sur étagère. Les entrepreneurs qui n'auront pas suffisamment de trésorerie y laisseront la peau... (mais je ne fais que me redire).
Bien d'accord là-dessus et c'est bien là que le bât blesse, entre autres vicissitudes...cdz183 a écrit : ↑24 mars 2024, 17:02 Il y a certes le doute qui plane désormais sur les souscriptions, mais je pense que le prix unitaire des grosses bécanes en laiton RTR (3250 +/- 250 €), même s'il est remarquablement fixe depuis 10 ans, ne s'accommode plus de la baisse du pouvoir d'achat des actifs, et même des retraités.
Oui mais en corrélation avec ce qui est dit ci-dessus, c'est peut-être plus facile de trouver 600/700 clients pour une locomotive à 700 balles (cf BB 67000 CHREZO) que d'en trouver 100 à 3500 balles le bout....parsifal a écrit : ↑24 mars 2024, 17:41 Je suis d'accord avec toi Bernard mais il faut savoir que pour rentabiliser une production plastique il faut sortir 800 exemplaires minimum.
Il faut trouver les 800 amateurs ,un peu moins si certains font l'acquisition de plusieurs exemplaires.
S'il y a des modifications a effectuer suite au contrôle du premier jet qui obligent à rectifier le moule ,ce n'est pas une chose négligeable qui va engendrer des coûts.
Donc pour qu'une fabrication plastique soit rentabilisée au mieux ,il faut vendre tous les exemplaires et éviter les reprises de moules.
Pour une fabrication laiton ,ces contraintes sont atténuées.
Par contre je suis pour le matériel remorqué en plastique .Il est plus facile de vendre 800 voitures ou wagons que la même quantité de locomotives.
Ne nous emballons pas, le marché français est encore très loin derrière le marché britannique en nombre d'amateur et donc de vente de matériel.Bernard Bayle a écrit : ↑24 mars 2024, 18:24
Oui mais en corrélation avec ce qui est dit ci-dessus, c'est peut-être plus facile de trouver 600/700 clients pour une locomotive à 700 balles (cf BB 67000 CHREZO) que d'en trouver 100 à 3500 balles le bout....parsifal a écrit : ↑24 mars 2024, 17:41 Je suis d'accord avec toi Bernard mais il faut savoir que pour rentabiliser une production plastique il faut sortir 800 exemplaires minimum.
Il faut trouver les 800 amateurs ,un peu moins si certains font l'acquisition de plusieurs exemplaires.
S'il y a des modifications a effectuer suite au contrôle du premier jet qui obligent à rectifier le moule ,ce n'est pas une chose négligeable qui va engendrer des coûts.
Donc pour qu'une fabrication plastique soit rentabilisée au mieux ,il faut vendre tous les exemplaires et éviter les reprises de moules.
Pour une fabrication laiton ,ces contraintes sont atténuées.
Par contre je suis pour le matériel remorqué en plastique .Il est plus facile de vendre 800 voitures ou wagons que la même quantité de locomotives.
Il m'arrive souvent de visionner des vidéos british : c'est incroyable le nombre de matériels Dapol et Heljan qui circulent...Eux ont visiblement franchi le pas.