Effectivement, une des difficultés de la soudure, réside dans des pièces de masse différentes. Il faut se rappeler que la soudure file toujours vers la partie la plus chaude, donc, en général la pièce la plus fine. Il faut doser la chauffe ne fonction de la masse relative des pièces, et souvent d'approcher la flamme du côté le plus important.
Il faut un peu d'expérience, et de feeling. Mais ça vient vite quand on a compris le principe.
Daniel
Point n'est besoin d'espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer.
JR14 a écrit : 16 nov. 2020, 23:11
Bonsoir a tous .
Bonsoir Milam .
A propos des conduites de frein , voici une petite photo ,
plus parlante qu'une grande explication ...
Pas mal pour un débutant .
Bien cordialement .
JOEL .P1060771 (Copier).JPG
Bonjour Joël,
Merci beaucoup pour cette photo ; très beau montage
Je reste toutefois dans l'expectative, à savoir qui a bien positionné sa conduite de frein car les photos montrent une différence dans le montage en fonction des intervenants. Sur cette photo, il me semble qu'il faille faire des modifs, soit sur la conduite en la recoupant,, soit sur la traverse de tamponnement en alésant le trou existant. De toutes façon, je suis loin d'avoir fini je m'en occuperai plus tard
Bien cordialement
Michel
Très bien, ça, l'idéal étant les plans SNCF confirmés par des photos, car les plans seuls...
Le plus souvent (mais pas toujours !), l'accouplement du frein automatique est à droite de l'attelage, quand on se trouve face au véhicule...
A ce propos, l'unique STEF OCEM photographié dans VF 162 comporte, outre le frein, une conduite de chauffage, pas pour transporter de la cervoise tiède, mais pour pouvoir être incorporé dans des trains de voyageurs.
Et d'autres (p.14 et p.22) ont en plus la conduite de frein direct*, reconnaissable à l'absence de robinet (ne pas confondre avec l'actuelle conduite principale)...
Et p.26, un UFR monoporteur avec remorque STEF, probablement monté sur châssis ex P.L.M., dont l'équipement de frein comporte à la fois l'antique grand levier de frein à main, sans doute une TV LuVI (présence du levier à boule), l'inévitable tirette plaine - montagne et un dispositif "moderne" de freinage vide - chargé par régleur SAB !
On peut se poser des questions sur l'efficacité de ce moyen de transport : 9500 kg de tare pour le wagon, 5140 pour la remorque, pour une charge "utile" de 5,8 t comprenant sans doute le poids de la glace, s'agissant d'une remorque réfrigérante...
* Apparemment, seul le P.L.M. a utilisé cette possibilité de frein direct sur les véhicules remorqués... encore fallait-il que tous ceux-ci soient munis de la conduite adéquate. Mais les BB 9001 à 9004, qui officiaient au début au SE, en étaient encore munies... avec, dans ce cas, la CG à gauche face à la machine !