Côté bogie, ça donne ceci :
- Vue de dessus... les longerons sont bien minces, ça sent la photogravure !
- et de dessous.
N'ayant pas réussi à faire fonctionner le système de rappel prévu (voir fil 4-240-A), j'ai tout viré et installé une plaque de téflon. Au moins le déplacement est-il libre.
Il est notoire qu'en réalité, la rappel ne fonctionnait pas non plus, c'était le châssis, trop souple - une habitude du P.L.M. - qui se déformait !!
A l'avant, la chape de la biellette longue s'articule sur la petite pièce fixée au châssis ; à l'arrière celle de la biellette courte vient entourer l'arceau en fil
(non prototypical !) qui assure un déplacement libre. Il est caché par la brosse croco, cette dernière est simplement enfichée par le dessous du châssis de bogie à l'aide de deux pions - elle doit rester démontable pour avoir accès à la chape de l'arceau.
Et à l'avant de la machine ?
Comme c'est invisible entre les cylindres, je me suis abstenu de remettre ça... je ne sais plus si le tube entourant le ressort de pression est de mon cru ou prévu dans le kit, en tout cas il le cache.
- Les dessous de l'avant...
On pourra noter de plus : le mouvement intérieur, avec les biellettes des leviers d'avance... et la distance infime (quelque chose comme 0,2 mm) entre la timonerie de frein (celle-ci complètement refaite ; si mes souvenirs sont bons, elle n'aurait jamais pu freiner quoi que ce soit...) et l'essieu coudé - elle doit augmenter un peu quand la machine est sur les rails, du fait de la suspension.
En tout cas, les deux pièces ont été fabriquées d'après les plans, indépendamment l'une de l'autre, et ça marche. De l'intérêt de respecter l'échelle (quand on peut) ! Filets : toujours les encres Huet et le Rotring de 0,2 ; ça ne conviendrait sans doute pas pour une machine sortant des ateliers.