Noter l'interversion des leviers D et C'2. Malheureusement les notations d'itinéraires ne correspondent pas. On a l'équivalence :
1 <-> Etat initial
2 <-> It. 5
3 <-> It. 1
4 <-> It. 3
5 <-> It. 2
6 <-> It. 4
En haut à droite, les incompatibilités en notation Bricka - Descubes.
J'ai oublié de parler des transmissions : aux aiguilles, par tringles, comme on en voit une partie dans la photo générale.
Aux signaux, par fils de pêche sans allongement. Merci à Denis Regnault pour l'idée et à la Coopérative Maritime (ça a des avantages, la Bretagne...).
Le seul vrai problème, des grippages des axes à la traversée de la table. Les paliers en plastique blanc y ont remédié (merci Philippe, "entre voisins faut s'entraider..."). Un balancier, sous la table, permet d'actionner le carré côté pointe soit avec C2, soit avec C'2 (de toute façon, on ne peut pas renverser les deux leviers simultanément).
Si, encore : il y a d'affreux bouts de plastique en sortie de table, car via les traverses d'aiguilles et les tringles, le courant traction finit par parvenir aux abords de la table. Il a fallu isoler avec les moyens du bord, ce sera un jour remplacé par plus discret.
S'il fallait conclure, tout ça, c'est de la logique, plutôt élémentaire (et après tout, c'était une partie de mon métier...). Le truc, évidemment, à confier à un ordinateur qui est fait pour ça (du moins au départ). La SNCF a fini par y venir, plutôt tardivement d'ailleurs, mais ces installations mécaniques ont eu la peau dure et, même maintenant, il en reste des traces.
Comme notre hobby est un vaste hommage au passé (le matos "moderne" a rarement moins de 50 ans !), pourquoi ne pas s'amuser aussi avec ces enclenchements ?
Pour ceux que, vraiment, ça intéresserait, on a à l'étude un poste actuellement prévu à 18 leviers (pas pour mon réseau...). C'est un peu plus "hard" ! Quant à un poste à 200 leviers comme il en a existé (Paris Lyon)... à laisser à la réalité et aux professionnels !
et 
pour le partage