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4-130-D et 4-130-E ex PO
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PS907
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Re: 4-130-D et 4-130-E ex PO
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PS sans le "j"
https://s-philippe-zeroval.pagesperso-orange.fr/
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BERTHELEMY
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Re: 4-130-D et 4-130-E ex PO
Trois jours que je suis arrivé sur le forum, et on (des inconnus pour moi) se bat sur mon article !!!
Alors deux choses :
1) Daniel 67 travaille bien mieux le métal que moi, et bien plus vite, maîtrise des techniques que j'ignore (DAO, photogravure...), il serait plus sage et civil de s'inspirer de ses réalisations que de le critiquer...
2) J'ai assuré la rédaction d'H d'O pendant 8 ans, et ce n'était pas spécialement confortable, on en prend souvent plein la g..., j'ai assez donné dans ce domaine. Donc, SOYEZ SYMPAS D'ALLER VOUS BATTRE AILLEURS, MERCI !!!
Si cela doit continuer, je retourne causer trains dans le cercle des amis proches...
Et merci à tous ceux qui sont intervenus pour calmer le jeu !
Alors deux choses :
1) Daniel 67 travaille bien mieux le métal que moi, et bien plus vite, maîtrise des techniques que j'ignore (DAO, photogravure...), il serait plus sage et civil de s'inspirer de ses réalisations que de le critiquer...
2) J'ai assuré la rédaction d'H d'O pendant 8 ans, et ce n'était pas spécialement confortable, on en prend souvent plein la g..., j'ai assez donné dans ce domaine. Donc, SOYEZ SYMPAS D'ALLER VOUS BATTRE AILLEURS, MERCI !!!
Si cela doit continuer, je retourne causer trains dans le cercle des amis proches...
Et merci à tous ceux qui sont intervenus pour calmer le jeu !
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BERTHELEMY
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Re: 4-130-D et 4-130-E ex PO
Désolé pour le coup de gueule d'hier soir, on n'en parle plus et on reprend tranquillement... Et qu'on se rassure, ce sera le seule section compliquée de l'article, le reste est assez banal.
Les ressorts reproduits à l'échelle sont inopérants, beaucoup trop raides, surtout quand ils sont moulés en bronze (c'est le cas ici, ressorts KZ).
Pour l'arrière, on pourrait bien sûr installer des balanciers à l'intérieur du châssis, chargeant les boîtes par le dessus. Mais il y a le motoréducteur (ici des Portescap que j'avis en stock) et la reproduction des flancs de foyer et cendrier.
J'ai fait plus simple : essieu AR (EM3) fixe, boîtes en butée sur le châssis (faut quand même pouvoir démonter, pas question de paliers fixes).
EM2 quasi cosmétique (on me pardonnera cet anglicisme, je devrais dire décoratif), boîtes chargées par un ressort très souple, juste pour le maintenir sur les rails. De fait, la machine est une 120.
A l'avant, le grand balancier longitudinal charge directement en son milieu EM1 par un grain en bronze. L'essieu est son propre balancier transversal, les boîtes ne servent qu'au guidage longitudinal de l'essieu.
A l'avant, la charge et une partie du rappel du bissel sont reportées du balancier à la crapaudine suspendue dans le bissel par un piston coulissant dans un cylindre vertical (une aubaine, comme on va le voir !). Ce piston est rigide. Quand le bissel se déplace, la crapaudine se soulève et comprime les ressorts de suspension du bissel qui fournissent l'effort de rappel.
Sur le modèle, il suffit de remplacer le piston monobloc par un piston en deux parties comprimant un ressort, il y a la place. C'est invisible et le tour est joué !
Encore quelques points à régler :
Le grand balancier reçoit, en réalité, la moitié de la charge de EM1 via le balancier transversal. Son axe est à l'avant de l'entretoise entre les cylindres. Sur le modèle, il reçoit la totalité de cette charge. Pour rééquilibrer l'ensemble, j'ai retourné l'entretoise dans le châssis, l'axe est plus en arrière. On décharge ainsi partiellement le bissel au profit de EM1.
Cet axe, fixe en réalité, coulisse verticalement sur le modèle. La hauteur de l'avant est donc réglable par la vis avec contre écrou visible au dessus de l'entretoise (la version définitive est une M 1,2 en acier, elle remplace une plus grosse visible sur certaines photos). Les "extrémités" de cet axe, peut être vaguement visibles en cherchant bien, sont elles aussi cosmétiques.
Dans la réalité, le rappel du bissel par biellettes, insuffisant, en particulier parce que l'effort initial est nul, est complété par un rappel par ressort, bien visible.
Parenthèse : ce dispositif, d'origine américaine, existe encore à deux exemplaires en France : le plus ancien sur la 4-140-A ex Midi, aux dernières nouvelles enfouie dans les réserves du Musée de Mulhouse (si vous voulez la voir, je vous souhaite bon courage, mais il n'est pas nécessaire d'espérer etc...). L'autre, d'accès libre (ouf !) est sur la 4-150-A dont ledit musée s'est débarrassé (non sans avoir au préalable détruit son tender, sans commentaire...) au profit d'un rond point des faubourgs de Périgueux - en compagnie d'un bogie Pennsylvania du PO, ça peut être utile à savoir...
Ce ressort, enroulé selon les recommandations de J.-C. Ragot (il y a eu du déchet au passage...), doit bien entendu être neutralisé sur le modèle.
Pour cela, la "double fourchette" est désolidarisée du châssis dans lequel elle coulisse librement. Son "axe" est lui aussi cosmétique.
Les biellettes de suspension de la crapaudine sont en bronze (je déteste usiner le bronze, mais pour certaines pièces d'usure...). Leur axe inférieur est en acier de 1 (les axes de forets épaulés cassés !). Les axes supérieurs, filetés en bout, sont démontables. Tout ceci doit pivoter trèslibrement. Le grand balancier aussi, bien entendu.
Et, figurez vous, ça marche !!! La bonne surprise à la fin de toutes ces opérations. Quant au rappel, il existe forcément, puisque le déplacement du bissel comprime le ressort du piston. Mais je n'ai aucune idée d'une façon de le mesurer. L'important, c'est que le bissel se déplace librement malgré la charge imposée.
Et les biellettes horizontales à l'avant ? Je ne sais trop à quoi elles servaient en réalité, le bissel devait être tiré par elles plutôt que poussé par son pivot (ce dernier reculé au maximum pour suivre les bons préceptes des anciens). Sur le modèle, elles ont un avantage, celui d'empêcher le bissel de tomber lorsqu'on soulève la machine (en vrai il y avait un autre dispositif que j'ai dû virer, il empêchait le montage). et l'inconvénient de ne pas faciliter les montage et démontage du bissel, malgré tout le jeu que j'ai pu leur donner. Les axes avant sont bien entendu provisoires.
Les ressorts reproduits à l'échelle sont inopérants, beaucoup trop raides, surtout quand ils sont moulés en bronze (c'est le cas ici, ressorts KZ).
Pour l'arrière, on pourrait bien sûr installer des balanciers à l'intérieur du châssis, chargeant les boîtes par le dessus. Mais il y a le motoréducteur (ici des Portescap que j'avis en stock) et la reproduction des flancs de foyer et cendrier.
J'ai fait plus simple : essieu AR (EM3) fixe, boîtes en butée sur le châssis (faut quand même pouvoir démonter, pas question de paliers fixes).
EM2 quasi cosmétique (on me pardonnera cet anglicisme, je devrais dire décoratif), boîtes chargées par un ressort très souple, juste pour le maintenir sur les rails. De fait, la machine est une 120.
A l'avant, le grand balancier longitudinal charge directement en son milieu EM1 par un grain en bronze. L'essieu est son propre balancier transversal, les boîtes ne servent qu'au guidage longitudinal de l'essieu.
- Arrière du balancier et son grain en bronze.
- Ensemble, vu de dessous.
Sur le modèle, il suffit de remplacer le piston monobloc par un piston en deux parties comprimant un ressort, il y a la place. C'est invisible et le tour est joué !
- Le piston à ressort et la crapaudine suspendue à ses biellettes.
Le grand balancier reçoit, en réalité, la moitié de la charge de EM1 via le balancier transversal. Son axe est à l'avant de l'entretoise entre les cylindres. Sur le modèle, il reçoit la totalité de cette charge. Pour rééquilibrer l'ensemble, j'ai retourné l'entretoise dans le châssis, l'axe est plus en arrière. On décharge ainsi partiellement le bissel au profit de EM1.
Cet axe, fixe en réalité, coulisse verticalement sur le modèle. La hauteur de l'avant est donc réglable par la vis avec contre écrou visible au dessus de l'entretoise (la version définitive est une M 1,2 en acier, elle remplace une plus grosse visible sur certaines photos). Les "extrémités" de cet axe, peut être vaguement visibles en cherchant bien, sont elles aussi cosmétiques.
Dans la réalité, le rappel du bissel par biellettes, insuffisant, en particulier parce que l'effort initial est nul, est complété par un rappel par ressort, bien visible.
Parenthèse : ce dispositif, d'origine américaine, existe encore à deux exemplaires en France : le plus ancien sur la 4-140-A ex Midi, aux dernières nouvelles enfouie dans les réserves du Musée de Mulhouse (si vous voulez la voir, je vous souhaite bon courage, mais il n'est pas nécessaire d'espérer etc...). L'autre, d'accès libre (ouf !) est sur la 4-150-A dont ledit musée s'est débarrassé (non sans avoir au préalable détruit son tender, sans commentaire...) au profit d'un rond point des faubourgs de Périgueux - en compagnie d'un bogie Pennsylvania du PO, ça peut être utile à savoir...
- Le bissel de la 150-A périgourdine.
Pour cela, la "double fourchette" est désolidarisée du châssis dans lequel elle coulisse librement. Son "axe" est lui aussi cosmétique.
Les biellettes de suspension de la crapaudine sont en bronze (je déteste usiner le bronze, mais pour certaines pièces d'usure...). Leur axe inférieur est en acier de 1 (les axes de forets épaulés cassés !). Les axes supérieurs, filetés en bout, sont démontables. Tout ceci doit pivoter trèslibrement. Le grand balancier aussi, bien entendu.
Et, figurez vous, ça marche !!! La bonne surprise à la fin de toutes ces opérations. Quant au rappel, il existe forcément, puisque le déplacement du bissel comprime le ressort du piston. Mais je n'ai aucune idée d'une façon de le mesurer. L'important, c'est que le bissel se déplace librement malgré la charge imposée.
Et les biellettes horizontales à l'avant ? Je ne sais trop à quoi elles servaient en réalité, le bissel devait être tiré par elles plutôt que poussé par son pivot (ce dernier reculé au maximum pour suivre les bons préceptes des anciens). Sur le modèle, elles ont un avantage, celui d'empêcher le bissel de tomber lorsqu'on soulève la machine (en vrai il y avait un autre dispositif que j'ai dû virer, il empêchait le montage). et l'inconvénient de ne pas faciliter les montage et démontage du bissel, malgré tout le jeu que j'ai pu leur donner. Les axes avant sont bien entendu provisoires.
- En regardant bien, on aperçoit l'"axe" du grand balancier et le ressort du piston.
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BERTHELEMY
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Compte suppr
Re: 4-130-D et 4-130-E ex PO
FABULEUX !
Vu qu'en 0 (1/43,5), la voie, le train de roulement, rien n'est à l'échelle, as tu travaillé en déterminant un facteur de réduction en largeur ? A titre personnel, c'est comme ça que j'avais fait sur un de les châssis.
Vraiment GRANDIOSE, !
Vu qu'en 0 (1/43,5), la voie, le train de roulement, rien n'est à l'échelle, as tu travaillé en déterminant un facteur de réduction en largeur ? A titre personnel, c'est comme ça que j'avais fait sur un de les châssis.
Vraiment GRANDIOSE, !
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BERTHELEMY
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Re: 4-130-D et 4-130-E ex PO
Je ne sais plus ! J'ai bien dû réduire un peu le bissel en largeur, mais de combien ??? Faut que j'aille voir mes plans, si c'est vraiment important...
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Compte suppr
Re: 4-130-D et 4-130-E ex PO
Non, pas important du tout, juste pour savoir. Je m'était bien e...é à l'époque avec cette échelle pas à l'échelle !