Re: Matériel roulant US
Posté : 21 déc. 2015, 12:10
Dans un autre fil il était question de déterminer pourquoi faire du train.
Je n’ai su que répondre "atavisme".
Alors dans mon inconscient ferroviaire circulent des engins SNCF époque III et plus particulièrement sur la région Est. Quoique la pratique de l’échelle 1/1 depuis quelques années m’ait fait (un peu) pencher vers le PLM. J’ai certains neurones, ceux qui se réveillent à la première évocation ferroviaire venue, qui ne conçoivent le train que comme une rame banlieue Est tractée par une 141 tender. C’est dire si à l’échelle Zéro j’ai autant de chance de voir un jour ce spectacle que d’être encore de ce monde lors du prochain passage de la comète de Halley. Je devrai me contenter d’une rame OCEM tractée par une 141P, enfin ce n’est pas encore fait pour cette dernière même si certains soufflent déjà dans la trompette d’annonce tel un guetteur fébrile.
Alors si je ne saurais être qu’attentif devant une Bigboy ou un couplage "multiple" de diesels tractant un train de pommes de terre dépassant le kilomètre en longueur ne me demandez pas de m’extasier devant un tel spectacle même avec tout le décorum idoine.
Il en va de même pour le monde des voitures anciennes que je côtoie un peu. Celles qui me plaisent sont les populaires des années 60. Les autres, aussi belles soient-elles, ne font que retenir mon attention quelques instants. Je vais occulter volontairement le volet musical afin d’éviter de noircir des dizaines de pages de ce forum destiné à une autre passion.
Bien que sachant reconnaître, et apprécier, la qualité du travail dans quelque domaine que ce soit je reste avec des appétences très sélectives, l’âge n’a rien arrangé en s’approchant de la phase vieux c**.
Pour être plus bref, je pourrais dire que si des trains US (modèles ou grandeur), tout comme d’autres européens, plus proches géographiquement, peuvent conquérir un peu d’attention bienveillante de ma part, ils ne sauraient en aucun cas m’émouvoir, mon inconscient réservant définitivement cet état d’âme au matériel SNCF époque III, toutes disciplines confondues, y compris l’environnement s’il est à forte connotation ferroviaire de cette époque. Parlez-moi d'une barrière oscillante rebondissant dans un fracas métallique avant de s’immobiliser quelques secondes avant le passage d’un Picasso et je frissonne de plaisir.
Je n’ai su que répondre "atavisme".
Alors dans mon inconscient ferroviaire circulent des engins SNCF époque III et plus particulièrement sur la région Est. Quoique la pratique de l’échelle 1/1 depuis quelques années m’ait fait (un peu) pencher vers le PLM. J’ai certains neurones, ceux qui se réveillent à la première évocation ferroviaire venue, qui ne conçoivent le train que comme une rame banlieue Est tractée par une 141 tender. C’est dire si à l’échelle Zéro j’ai autant de chance de voir un jour ce spectacle que d’être encore de ce monde lors du prochain passage de la comète de Halley. Je devrai me contenter d’une rame OCEM tractée par une 141P, enfin ce n’est pas encore fait pour cette dernière même si certains soufflent déjà dans la trompette d’annonce tel un guetteur fébrile.
Alors si je ne saurais être qu’attentif devant une Bigboy ou un couplage "multiple" de diesels tractant un train de pommes de terre dépassant le kilomètre en longueur ne me demandez pas de m’extasier devant un tel spectacle même avec tout le décorum idoine.
Il en va de même pour le monde des voitures anciennes que je côtoie un peu. Celles qui me plaisent sont les populaires des années 60. Les autres, aussi belles soient-elles, ne font que retenir mon attention quelques instants. Je vais occulter volontairement le volet musical afin d’éviter de noircir des dizaines de pages de ce forum destiné à une autre passion.
Bien que sachant reconnaître, et apprécier, la qualité du travail dans quelque domaine que ce soit je reste avec des appétences très sélectives, l’âge n’a rien arrangé en s’approchant de la phase vieux c**.
Pour être plus bref, je pourrais dire que si des trains US (modèles ou grandeur), tout comme d’autres européens, plus proches géographiquement, peuvent conquérir un peu d’attention bienveillante de ma part, ils ne sauraient en aucun cas m’émouvoir, mon inconscient réservant définitivement cet état d’âme au matériel SNCF époque III, toutes disciplines confondues, y compris l’environnement s’il est à forte connotation ferroviaire de cette époque. Parlez-moi d'une barrière oscillante rebondissant dans un fracas métallique avant de s’immobiliser quelques secondes avant le passage d’un Picasso et je frissonne de plaisir.