Forum du Zéro

Maintenant que les pontets sont faits, il faut s’attaquer au mécanisme.
Le support de levier est assez coriace, il est positionné à 45 degrés permet la rotation du levier d’entrainement.

La tôle mesure 20x20mm, le reste c’est un peu de traçage, deux trous de 1mm pour l’axe et de la découpe avec une vielle paire de ciseaux. On commence par plier l’angle à 45 puis les deux ailes du « U »

A suivre...

Y

Double Dabeg a écrit : 28 nov. 2020, 21:17 Une tôle de 4mm !!!!!

De large...mais 0,3 d’épaisseur !

on a plein de super tutos en ce moment

On reconnait l'ancien apprenti du materiel !

De large, je pense, pas d'épaisseur !!!!
Ou alors le Yann, il a des doigts costauds !

Voilà la suite du mécanisme avec le levier, le contrepoids et la bielle.

C’est toujours de la tôle de 0,3mm d’épaisseur et une bande de laiton de 2,6.
La partie la plus délicate est le percage de 2mm bien au centre pour laisser passer le tube de 2mm.
3/10 de chaque côté c’est tout petit. Une fois soudé ça ne bouge plus.

Pour que le signal soit fonctionnel, il faut que le contrepoids soit suffisamment lourd pour faire tourner la cible quand elle n’est plus maintenue en position « ouverte ». J’ai trouvé dans mes tiroirs un rond de plomb inutilisé. J’ai tronçonné des disques de 2mm d’épaisseur pour que cela fasse une masse suffisante.

Je te souhaite de tout mon cœur que ça suffise, mais d'après mon expérience, un contrepoids fonctionnel à notre échelle doit être bien plus lourd que celui réduit à l'échelle, et le plomb n'y changera pas grand chose...
Faudra sans doute prévoir un contrepoids auxiliaire, mais efficace, sous la table... Bon, je préférerais me tromper !

Pourquoi pas de l’uranium appauvri (densité 19 kg/m3) utilisé dans les quilles de voilier et il y quelques années encore pour l’équilibrage de certains aéronefs.

Le problème de masse volumique en modélisme se rencontre dans d’autres disciplines, comme les maquettes navigantes de paquebot ou de navire de guerre qu’il est plus prudent d’équiper de quilles (alors que leur modèles 1 :1 n’en possèdent pas). Les lester fortement de l’intérieur altère sérieusement leur ligne de flottaison et les fait ressembler à un culbuto au premier clapot.

Expérience vécue avec une maquette navigante du France (au 200^ème, mais 1,57 m tout de même) : sur la photo ci-dessous la maquette a due être maintenue le temps de la prise de vue (on devine la main à la poupe).

stratus a écrit : 30 nov. 2020, 11:33 Pourquoi pas de l’uranium appauvri (densité 19 kg/m3) utilisé dans les quilles de voilier et il y quelques années encore pour l’équilibrage de certains aéronefs.

Le problème de masse volumique en modélisme se rencontre dans d’autres disciplines, comme les maquettes navigantes de paquebot ou de navire de guerre qu’il est plus prudent d’équiper de quilles (alors que leur modèles 1 :1 n’en possèdent pas). Les lester fortement de l’intérieur altère sérieusement leur ligne de flottaison et les fait ressembler à un culbuto au premier clapot.

Expérience vécue avec une maquette navigante du France (au 200^ème, mais 1,57 m tout de même) : sur la photo ci-dessous la maquette a due être maintenue le temps de la prise de vue (on devine la main à la poupe).

je ne veux pas agiter les babouches dans le couscous, mais 19kg/m3, c'est peu...


mais WIKIPEDIA parle lui de 19 TONNES/m3...
c'est mieux!
19 050 kg/m3 pour être précis!


(peut-être que le modo réparera la coquille de notre ami André?)

Bonjour,
Les signaux mécaniques produits par Feu Gilles Ramond, ce grand modéliste, se ferment uniquement par leur contrepoids.
Et rien de radioactif là dedans.
jp