Re: [LTMF] CC 72000 échelle Zéro
Posté : 31 août 2023, 11:51
RE-bonjour,
Mon intervention précédente me fournit une occasion idéale de dire que c'est aujourd'hui que se terminent les « vacances judiciaires » et donc la période où "lancer des actions" peut faire craindre que son dossier finisse "en dessous de la pile" du fait des absences des uns et des autres.
Et, il se trouve que ce jour marque aussi la fin de ce que j'ai appelé moi-même, le "délai raisonnable"» au bout duquel on peut penser que "monsieur DD" ne fait aucun cas des lettres de mise en demeure de rembourser qui ont pu lui être adressées (puisqu'il ne se donne même pas la peine d'aller les retirer au bureau de poste).
Les conditions pour adresser une demande à la justice, sont donc doublement réunies pour la "vingtaine" de souscripteurs qui ont écrit sur ce forum et sur "l'autre" qu'ils étaient prêts à "y aller" ensemble.
Mais, en pratique, je pense que rien ne pourra être fait s'ils ne commencent pas par se choisir un "chef" qui se chargera d'engager toutes les démarches, étant dit qu'il faut forcément que cela soit l'un d'eux, puisqu'aucune association de consommateur et encore moins la "répression des fraudes ", n'accepteront d'intervenir sur la demande d'une personne qui n'est pas véritablement "concernée" (je viens d'en faire l'expérience).
Or il est besoin, à mon avis, de ces organismes et administration dans le perspective d'une "action de groupe"» ou pour une "plainte" collective, ce qui est l'hypothèse envisagée, si j'ai bien compris.
De plus, il sera besoin, de toutes façons, de recueillir auprès de chaque « plaignant » tous les détails qui lui permettent de dire qu'il a été "trompé", et donc à minima des précisions sur ce qu'il a "signé" et "payé", que ce soit sous forme d'acompte de moitié ou moins, " d'ahrres ", sans compter la nécessité de préciser s'il a payé sans qu'on le lui demande ou à la réception d'une "facture", etc, etc...
En clair, tout ce qu'il faudrait, de toutes façons, fournir à un tribunal (quelqu'il soit), si l'on décidait d'y aller tout seul.
D'ailleurs, à ce sujet, je crois qu'il faut avoir présent à l'esprit que "l'indélicat" dont on parle, donne tous les signes de quelqu'un qui "créera" jusqu'au bout des difficultés de procédure, ne serait-ce qu'au travers du fait qu'il est bien difficile de trouver sur une carte ou sur le cadastre, l'endroit où il dit avoir fixé le siège de son "entreprise" (sachant qu'il y a fort à parier qu'il n'y soit pas présent en permanence, comme le montre le fait qu'il ne "répond pas au facteur", comme dit plus avant").
En d'autres termes, tout cela risque bien de n'être pas une "promenade de santé"» et sans doute, encore une fois, l'assistance d'une association de consommateurs, de la DGCCRF et même d'un l'un avocat pourrait-elle être la bienvenue pour les questions ...pratiques.
L'idéal serait bien sur que l'un ou l'autre des souscripteurs profite d'une police « d'assurance juridique » et s'en serve pour obtenir le concours d'un avocat dont tout le monde pourrait profiter.
Mais pour cela, encore une fois, il faut que "quelqu'un" se désigne pour prendre la tête des opérations, en commençant par "recenser" tous les plaignants décidés à agir, ceux-ci devant dire à leur tour, jusqu'à quel point ils y sont décidés, tout en acceptant de fournir des indications précises sur le déroulement des choses, en ce qui les concerne.
Une fois que nous en serons là..., je pourrai bien sur aider pour la suite si on le souhaite
Mon intervention précédente me fournit une occasion idéale de dire que c'est aujourd'hui que se terminent les « vacances judiciaires » et donc la période où "lancer des actions" peut faire craindre que son dossier finisse "en dessous de la pile" du fait des absences des uns et des autres.
Et, il se trouve que ce jour marque aussi la fin de ce que j'ai appelé moi-même, le "délai raisonnable"» au bout duquel on peut penser que "monsieur DD" ne fait aucun cas des lettres de mise en demeure de rembourser qui ont pu lui être adressées (puisqu'il ne se donne même pas la peine d'aller les retirer au bureau de poste).
Les conditions pour adresser une demande à la justice, sont donc doublement réunies pour la "vingtaine" de souscripteurs qui ont écrit sur ce forum et sur "l'autre" qu'ils étaient prêts à "y aller" ensemble.
Mais, en pratique, je pense que rien ne pourra être fait s'ils ne commencent pas par se choisir un "chef" qui se chargera d'engager toutes les démarches, étant dit qu'il faut forcément que cela soit l'un d'eux, puisqu'aucune association de consommateur et encore moins la "répression des fraudes ", n'accepteront d'intervenir sur la demande d'une personne qui n'est pas véritablement "concernée" (je viens d'en faire l'expérience).
Or il est besoin, à mon avis, de ces organismes et administration dans le perspective d'une "action de groupe"» ou pour une "plainte" collective, ce qui est l'hypothèse envisagée, si j'ai bien compris.
De plus, il sera besoin, de toutes façons, de recueillir auprès de chaque « plaignant » tous les détails qui lui permettent de dire qu'il a été "trompé", et donc à minima des précisions sur ce qu'il a "signé" et "payé", que ce soit sous forme d'acompte de moitié ou moins, " d'ahrres ", sans compter la nécessité de préciser s'il a payé sans qu'on le lui demande ou à la réception d'une "facture", etc, etc...

D'ailleurs, à ce sujet, je crois qu'il faut avoir présent à l'esprit que "l'indélicat" dont on parle, donne tous les signes de quelqu'un qui "créera" jusqu'au bout des difficultés de procédure, ne serait-ce qu'au travers du fait qu'il est bien difficile de trouver sur une carte ou sur le cadastre, l'endroit où il dit avoir fixé le siège de son "entreprise" (sachant qu'il y a fort à parier qu'il n'y soit pas présent en permanence, comme le montre le fait qu'il ne "répond pas au facteur", comme dit plus avant").
En d'autres termes, tout cela risque bien de n'être pas une "promenade de santé"» et sans doute, encore une fois, l'assistance d'une association de consommateurs, de la DGCCRF et même d'un l'un avocat pourrait-elle être la bienvenue pour les questions ...pratiques.
L'idéal serait bien sur que l'un ou l'autre des souscripteurs profite d'une police « d'assurance juridique » et s'en serve pour obtenir le concours d'un avocat dont tout le monde pourrait profiter.
Mais pour cela, encore une fois, il faut que "quelqu'un" se désigne pour prendre la tête des opérations, en commençant par "recenser" tous les plaignants décidés à agir, ceux-ci devant dire à leur tour, jusqu'à quel point ils y sont décidés, tout en acceptant de fournir des indications précises sur le déroulement des choses, en ce qui les concerne.
Une fois que nous en serons là..., je pourrai bien sur aider pour la suite si on le souhaite
